Une richesse sous-estimé à porté de main ?
News • 15 janvier 2020
L'Afrique regorge de richesse, encore faut-il en être conscient.
Partout au Cameroun, en Afrique et sans doute dans d'autres pays, tout observateur doit avoir vu ici et la des bananiers poussant anarchiquement. A tel point que parfois, le voisinage doit se sentir envahi par cette fleur (oui, le bananier ainsi que le bananier plantain sont scientifiquement considéré comme des fleurs) dont la multiplication incontrôlé peu donner un résultat embêtant.
Et pourtant, sur la photo ci-dessus, vous pouvez voir des plants de bananier vendu dans une grande enseigne française. Tandis qu'ils sont vendu ailleurs aux particuliers, en Afrique ils poussent aux abords des routes, dans les arrières cours, à coté de poubelles, partout. Et arrêter leur prolifération pose parfois problème. Un plant de bananier ou bananier plantain peu produire à lui seul au moins 4 rejets (plants futurs).
Quels leçons, conclusions cela vous inspire ? Nous pensons que c'est une richesse à chérir. En réalité en Afrique tout le monde pourrai se procurer, gratuitement, un bananier et produire ses propre bananes. Oui, la production ne sera pas soutenu … Mais chacun pourrai avoir son arbre fruitier.
Qu'est-ce que vous en pensez ? Avez vous déjà un arbre fruitier ? Qu'est ce qui vous freine ? Quels arbres fruitiers pousse partout dans votre pays, ville ; bien que ne bénéficiant pas d'une attention particulière ?
On est Ensemble.
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C'est sur le long terme que nos produits doivent satisfaire les besoins de nos clients. Dans le cadre de cette projection dans le futur, d'une amélioration continu de notre qualité (produits et services) et de la protection de nos acquis ; une protection à l'OAPI (Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle) c'est avéré être une des actions à réaliser. Nous sommes heureux d'annoncer à nos partenaires actuels et futurs notre protection pour une durée de 10 ans sous le numéro d'enregistrement 164210. Protection active dans les 17 pays suivant : Benin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Comores, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Guinée Équatoriale, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad, Togo).

Le nom NALYNGUYO est une composition faite à partir des prénoms des membres de la famille du promoteur de l'entreprise. En le décomposant on obtient NA (NAthan), LY (LYnda), N (Noélië), GUY (GUY-roger) et enfin O (Odélia). Cette composition (NALYNGUYO) de plus se prononce de la même manière que "Nalingi Yo" qui veut dire "je t'aime" en lingala.
Le cœur surplombant le logo à lui été obtenu en reprenant deux fois le "O" de NALYNGUYO et en les renversant. La couleur de la terre a été choisi pour garder à l'esprit de toujours la chérir car étant la base de notre activité. La couleur verte renvoi à la nature avec laquelle nous devons composer, comprendre, préserver. La forme des lettres est obtenue en écrivant avec un doigt dans de la terre.

NALYNGUYO participe à l'atelier organisé dans le cadre de la concertation préalable à la révision du programme d’actions national « nitrates » ayant pour objectif de découvrir les mesures du programme d’actions nitrates et d’identifier collectivement les pistes pour améliorer la qualité de l’eau. Le 10 octobre 2020 à Paris au Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

La PAC a tenu son engagement de garantir la sécurité alimentaire dans l’Union européenne depuis près de 60 ans. Mais aujourd’hui elle révèle ses limites : les évolutions de la société et les crises climatiques, environnementales et sanitaires questionnent la pertinence et l’actualité de l’objet hérité du contrat social de cette politique commune européenne.